EGLISE CÉLESTE :KANON  LUC: «LE CONSEIL  MONDIAL A PORTE PLAINTE  CONTRE TOSHO POUR DÉSTABILISATION DU DIOCÈSE DE COTE IVOIRE. LA SÉRÉNITÉ EST DE RETOUR DANS LE DIOCÈSE »

NOMMINATION EGLISE CELEST 2Face  aux troubles observés ces jours-ci, troubles au bon fonctionnement et la tranquillité de l’Eglise du Christianisme Céleste qui retrouve sa quiétude dans le diocèse de Côte d’Ivoire, après tant d’années de rébellion en son sein, et face  aux fréquentes  interventions de certaines personnes dans les médias ivoiriens et auprès des autorités administratives de la République de Côte d’Ivoire se présentant comme représentants de l’Eglise du christianisme Céleste, une mise au point du Supérieur Evangéliste KANON LUC, Chef de l’Eglise du christianisme céleste, Diocèse de Côte d’Ivoire a été faite. Une réaction à une pseudo décision de nomination qu’aurait opérée en  Côte d’Ivoire alors qu’en en fuite en France, Tosho, frère cadet du Pasteur mondial Emmanuel Oshoffa.  Des fidèles qu’il aurait  nommés, depuis le Nigeria comme étant  à la tête d’un diocèse unifié par intérim de Côte d’Ivoire.

 Pasteur Emanuel Oshoffa, chef spirituel de l'Eglise Céleste Mondiale

Pasteur Emanuel Oshoffa, chef spirituel de l’Eglise Céleste Mondiale

 »Nous avons eu connaissance d’une décision de nomination d’un chef par intérim ‘‘d’un Diocèse dit unifié de Côte d’Ivoire’’, une décision certainement qui vous est parvenue par les soins des auteurs. Après lecture, je me  permets de déclarer que de telles insinuations bien que troublant l’opinion ne sauraient à la réalité concerner le DIOCESE DE COTE D’IVOIRE que je dirige et qui est reconnu par la République  de Côte d’Ivoire, tel qu’il ressort des actes successifs suivants ; Arrêté N°352 /INT/AG/1 du 27 février  1973, portant autorisation et fonctionnement en Côte d’Ivoire de l’association cultuelle étrangère dénommée : «Union de la sainte trinité dite CHRISTIANISME CÉLESTE»; tel que modifié  par les arrêtés N°235/INT/AT/AGI du 3 juillet 1986 et N°17/INT/AT/AG3 du 21 janvier 1989 et l’Arrêté N° 408/INT/DGC/DVCOM/SDERen date du 25  avril 2008 du Ministère de l’Intérieur de la République de Côte d’Ivoire portant modification de l’Organe de direction de l’Association cultuelle Etrangère dénommée «Eglise du christianisme Céleste  Diocèse de Côte d’Ivoire», reconnaissant le Révérend KANON LUC en sa qualité de président du Comité Directeur de l’Eglise du christianisme Céleste diocèse de Côte d’Ivoire », a indiqué le Révérend Kanon Luc.

Et de notifier aux fidèles la plainte de l’Eglise mondiale contre celui qui selon les frondeurs aurait procédé à une nomination à savoir le Senior Evangéliste Tosho Oshoffa. Une plainte  à la police le 29 octobre et libellée ainsi : ‘’ Poursuites contre Senior Evangéliste Tosho Oshoffa Pour ses actions récidivistes contre la paix et la sécurité dans l’Eglise du christianisme Céleste mondiale’’ :

PLAINTE  POLICE CONTRE TOSHO«Le Conseil d’administration de l’Eglise du Christianisme Céleste Mondial se prévaut d’attirer l’attention une nouvelle fois sur les activités récidivistes et illégales du senior évangéliste Tosho Oshoffa, un membre de l’Eglise, qui comme souligné dans notre lettre du 29 juillet 2015 que nous vous avons adresse “a pris le risque de s’engager dans des activités qui ne sont pas compatibles avec les règles établies et les règlements  de l’Eglise pour laquelle le Conseil d’administration est le garant légal.” Pour une meilleure compréhension veuillez-vous référer à la lettre jointe.

SE Tosho Oschoffa a envoyé une lettre à certaines paroisse en Côte d’Ivoire se présentant comme étant le chef d’un groupe de réconciliation qui n’a aucune base ni approbation légitime. La lettre n’a pas été signée avec l’intention d’éventuellement se dissocier par la suite lorsque sa responsabilité serait mise en question. Une copie de ladite lettre est aussi ajoutée à ce courrier.

Une nouvelle fois, étant respectueux de la loi, le Conseil d’administration de l’ECC tient respectueusement à attirer l’attention sur le possible effondrement de la loi et de l’ordre dans l’évènement où l’ordre du SE Tosho Oshoffa et le contre ordre émanant des membres de l’église entraineraient des accrochages et le désordre.

Nous invitons une nouvelle fois, respectueusement la police d’entreprendre des actions urgentes et nécessaires pour éviter des éruptions de violence en le mettant en garde de ne pas engager à nouveau des actes qui sont capables de déstabiliser la paix de l’Eglise et la paix publique ». Plainte signée   du professeur Bola A. Akinterinwa, Supérieur Evangéliste et Secrétaire, Conseil d’Administration, de l’Eglise du Christianisme Céleste Mondiale.

Le Conseil d'Administration
Le Conseil d’Administration

« Au regard de ce qui précède, tout acte posé ou toute décision reçue par vision ou prise par le soi-disant « révérend Olatosho OSHOFFA »  qui s’attribue indûment une qualité que ne lui reconnait pas notre Congrégation cultuelle est frappé de nullité et ne saurait concerner le DIOCESE DE COTE D’IVOIRE. Et je précise que le Diocèse de Côte d’Ivoire est distinct du supposé diocèse unifié.

  Car aucune décision  de Justice ou Loi ou encore aucun acte administratif de l’Etat de Côte d’Ivoire ou d’ailleurs, encore moins du Siège  Mondial de l’Eglise du christianisme Céleste,  ne fait à ce  jour obstacle et ne remet en cause la qualité du Représentant légal et légitime que reste le Révérend KANON LUC en Côte d’Ivoire, du Chef spirituel de l’Eglise du Christianisme Céleste dans le monde entier. J’invite  tous les fidèles à la sérénité », termine le chef du diocèse Kanon Luc.

Les fidèles depuis l’annonce de la plainte contre Tosho qui a trouvé refuge en France, ont commencé à faire bloc autour du chef du diocèse le Révérend  Kanon Luc. Les diocèses des pays francophones ont également signé  une déclaration de confirmation du pasteur Emmanuel Oshoffa en sa qualité d’unique chef spirituelle de l’Eglise du Christianisme Céleste mondiale.

HM

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