Le choix de l’angle, le mode de traitement, les outils et le contenu de l’article permettant une meilleure visualisation. Quelques clefs ont été dévoilées aux journalistes ivoiriens qui avaient juste une perception distractive des réseaux sociaux alors qu’incontournables pour le développement des médias numériques.
Facebook, avec plus de 2 milliards d’utilisateurs en juin 2017, aux côtés de tweeter, Instangram, whatsApp etc. sont incontestablement les voies les plus utilisées au monde pour l’essor de son activité indique, Luc LEGAY, expert-formateur, propulseur de communautés. Une exploitation donc maximale des réseaux sociaux permet donc d’impulser les médias numériques.
https://web.facebook.com/joel.dally.9/videos/1960048327545007/
« En vue de capter l’attention du lecteur sur internet, le journaliste doit mettre un accent particulier sur le positionnement éditorial » a affirmé Luc LEGAY. Selon l’expert formateur, tout part de la définition claire de la ligne éditoriale qui est en réalité l’ensemble des sujets traités.
L’article sur le web doit être structuré
Pour le formateur, écrire pour le web nécessite une parfaite maitrise de la susceptibilité de cet environnent. Avec sa façon d’évoluer instantané qui prend en compte l’internaute face à une multitude de choix immédiats. Ainsi, le choix d’un angle précis, c’est-à-dire la façon dont on se distingue sa vision sur le sujet à traiter.
https://web.facebook.com/unesco.bureaudabidjan/videos/2028375914104132/
Et le mode de traitement qui va se décliner dans les outils et le contenu de l’article, sont autant de paramètres à prendre en considération si l’on veut voir sa publication intéresser les internautes.
Le formateur indique plusieurs modes de traitement notamment le traitement incitatif, le flash à la Une, l’accroche ou le titre illustré et des vidéo sous titrées pour permettre une meilleure visibilité.
c’est l’enjeu qui est au cœur de la formation initiée par le Bureau UNESCO,
Abidjan au bénéfice des journalistes qui leur donne une nouvelle perception et ce, face aux opportunités que représentent ces outils de communications pour les médias numériques.
Du coup, les journalistes à la formation se rendent compte de la faiblesse du traitement de leurs différentes publications. Cette rencontre démarrée, le mercredi 25 octobre et ce, jusqu’au vendredi 27 octobre 2017 retient l’intérêt de plus d’une cinquantaine de journalistes découvrent le potentiel qu’ils peuvent tirer de l’exploitation des nouveaux outils de l’internet. Au terme des trois jours de formation devront: assimiler et appliquer les meilleures pratiques d’utilisation des réseaux sociaux pour valoriser leurs médias numériques respectifs qui ont de plus en plus d’impact dans le paysage de la communication.
L’enjeu pour les journalistes est d’arriver à arracher une place dans un vaste champ où plus d’1 milliard 300 millions de sites se livrent une ‘’bataille’’ de conquête auprès des internautes. «L’on enregistre aujourd’hui 3,8 milliards d’internautes, c’est-à-dire 1 personne sur 2 est connectée, c’est près de 51% de la population mondiale. En Afrique, c’est 362 millions, soit 29% de la population qui est connectée.
HM
© 2017, redaction. All rights reserved.
Sauf autorisation de la rédaction ou partenariat pré-établi, la reprise des articles de www.ledebativoirien.net, même partielle, est strictement interdite. Tout contrevenant s’expose à des poursuites.