Côte d’Ivoire :la grosse colère du CNP, avec  la journée de  la terre-« Redonnez le pays à un autochtone »

Candidat éligible à la présidentielle 2015, mais recalé pour sa défense des Autochtones, s’est adressé aux ivoiriens à l’occasion de 3ème Journée de la Terre Ivoirienne. L’ADRESSE du président-du CNP:

Au Monde, Autochtones de tous les Pays, Ivoiriens, Ivoiriennes,

« Le temps est venu de libérer la terre, principalement la Terre de la Côte d’Ivoire. Et en ce lundi 19 mars 2018, 3ème Journée de la Terre Ivoirienne (JTI-3), l’occasion est fort indiquée pour le Congrès national populaire (Cnp) que dirige Nanankoua Gnamantêh Akoli Niamkey de prendre position !

Côte d’Ivoire :la grosse colère du CNP, avec  la journée de  la terre- Redonnez le pays à un autochtone » Gnamateh KUA ledebativoirien.netAu plan national ivoirien             

Le lundi 11 avril 2011 est une page noire de notre histoire. Des années après, le constat est tout simplement amer, désolant et frustrant et pis sans issue :

a) le respect du premier-occupant selon Jean-Jacques Rousseau que le Congrès national populaire appelle l’Autochtone est foulé aux pieds chaque jour en Eburnie.

b) A la date du lundi 11 avril 2011, la Côte d’Ivoire s’est donné un despote. Or nous savons qu’un despote est pire qu’un tyran.

c) Les soi-disant performances économiques ne profitent pas à l’Autochtone de la Côte d’Ivoire.

d) La nationalité par déclaration est un crime social car c’est du bradage de la nationalité Ivoirienne. Elle a  créé une surcharge démographique sans nom. Et les conséquences sont affolantes : microbes, vols, viols, tueries, enlèvements surtout d’enfants, crimes sacrificiels, migrants, incivisme, attaques contre les forces de l’ordre, etc. En un mot comme en mille, notre pays est sur une mauvaise pente.

  • le cla Alassane Ouattara decrite par gnamateh nanakoua ledebativoirien.net

4e) Alassane Ouattara, comme chef de l’Etat a échoué sur toute la ligne. Il n’aura pas réussi à juguler les 3 maux qu’il a lui-même introduits en Côte d’Ivoire :

  • La division des Ivoiriens par la Charte du Nord. Ce sont eux les chantres de la Charte du Nord 1 et 2 qui ont affirmé qu’il n’y avait pas d’autochtone au Nord du pays et qui ont ainsi provoqué la guerre.
  • La politique d’Alassane Ouattara niant l’existence des Autochtones a favorisé l’invasion de nos forêts par des étrangers. Les Autochtones heureusement résistent à l’invasion. Le Congrès national populaire (Cnp) salue cet acte de bravoure pour la libération totale de nos terres envahies par la guerre d’occupation du jeudi 19 septembre 2002 au lundi 11 avril 2011.
  • Les brigues d’Alassane Ouattara sont découvertes. Ses nominations basées sur « un simple rattrapage » et la vengeance, les cas de Jean-Louis Billon et Noël Akossi Bendjo, sont des preuves tangibles qu’il ne peut réconcilier les Ivoiriens. L’Agni, le Sénoufo, le Guéré par exemple sont des Autochtones de la Côte d’Ivoire. Alors s’il croit qu’un Burkinabè ou un Béninois ayant obtenu la nationalité Ivoirienne, et de quelle manière, par déclaration, devient illico Autochtone de Côte d’Ivoire, il se trompe gnamatehlourdement.

Dominique Ouattara Nouvian jusqu’à sa mort oubliera-t-elle sa terre natale, la terre de ses ancêtres ? Jamais !! Donc…

Au niveau local de Morokro-village

Un des monstres incontrôlés et incontrôlables qu’Alassane Ouattara a créé avec sa loi sur les rois et chefs fait des siennes dans le village de Morokro avec la complicité de l’autorité administrative. Et pourtant, le sieur Bitty Souho Georges traîne beaucoup de casseroles : affaire boulangerie, affaire Bessi, affaire morgue, affaire 2 millions de Gbagbo, affaire convocations intempestives des Morokrofouôh (populations de Morokro) à la gendarmerie de Tiassalé, affaire 507 hectares de savanes, affaire lotissement, affaire procès « usurpation de titre » perdu contre Gnamantêh…

Eu égard à toutes ces affaires et bien d’autres, le Congrès national populaire demande la révocation pure et simple du sieur Bitty Souho Georges du poste de chef de Morokro-village. Ceux qui disent que les chefs sont nommés et que le procureur Zahé Edmond du Tribunal de Tiassalé taxe d’ignorants de la loi, se trompent sur toute la ligne.

Si le sieur Bitty Souho Georges n’est pas révoqué par le ministre de l’Intérieur, le Cnp prendra ses responsabilités pour sa démission. Pour que Morokro-village connaisse la paix et le développement.

De l’inconséquence, voire de la lâcheté des cadres de Morokro-village

Justice gnamatheh libre ledebativoirien.netVoici des cadres qui envoient une mission en 2015 pour enquête sur la gestion du chef du village de Morokro. La conclusion de cette mission est sans appel : gestion catastrophique ! Le chef installé depuis le samedi 06 avril 2002 est inapte à diriger le village.

Les cadres recommandent la mise en place d’un comité de gestion dont les textes sont prêts en avril 2016. En août 2016, les Morokrofouôh se révoltent et signent une pétition pour réclamer la démission du chef. D’août 2016 à décembre 2017, nos cadres sont restés cois dans leurs douillets salons n’entendant rien, ne voyant rien.

Le mercredi 13 décembre 2017, le préfet Jules Gouessé de Tiassalé convoque une réunion des différents protagonistes de la crise sauf Gnamantêh. Et le préfet de tonner à cette occasion : les chefs sont nommés à vie ! (une prime à la gabegie) ?

Il faut mettre sur pied un comité de gestion qui doit travailler avec le chef ! (le sieur Bitty Souho Georges destitué, le samedi 17 juin 2017, par les us et coutumes des Agni-Amantian, les 3 grandes familles  et les populations de Morokro ?! Les cadres devenus amnésiques entrent dans leurs petits souliers la queue entre les pattes. Depuis lors, la situation est bloquée.

Le Cnp dénonce cette lâcheté des cadres du village de Morokro qui constitue un frein au développement. Et comme ils refusent leurs responsabilités, nous allons créer un comité de gestion ici à Morokro que nous allons présenter au préfet Jules Gouessé de Tiassalé pour approbation.

 Au plan régional de l’Agnéby-Tiassa       

GNAMATEH 1Il se nomme M’bolo Nando Martin. Depuis qu’il a été élu président du conseil régional de l’Agnéby-Tiassa, le dimanche 21 avril 2013, il ne sait plus où se trouve la route de Morokro-sous-préfecture. Et pourtant Morokro lui avait défini ses priorités : 1- un collège moderne qui se muera en lycée ; 2- une brigade de gendarmerie vu l’insécurité chronique et galopante depuis 2010 ; 3- la résidence du sous-préfet ; 4- une ambulance pour le Centre de santé urbain de Morokro. De tout cela, rien n’a été réalisé.

Monsieur se la coule douce à Agboville attendant les prochaines élections pour venir faire de nouvelles promesses. Il croit que le peuple n’a pas de mémoire ! Si vous le voyez, dites-le lui : Morokro l’attend. Et le Cnp beaucoup plus. Car il est temps que nos dirigeants arrêtent d’abuser et d’arnaquer nos populations.

 Du désenclavement du Moronou

Ah, cette route ! Elle part du PK 120 de l’autoroute du Nord, passe par Morokro à 15km, atteint M’batto, Bongouanou, ensuite Daoukro et arrive à Bondoukou. Le tracé de cette route avait été réalisé. Le président Henri Konan Bédié s’en allait la bitumer en  mars 2000 n’eût été le coup d’Etat de décembre 1999.

Aujourd’hui cette voie Morokro-M’batto-Bongouanou est jetée aux oubliettes. Le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, reste indifférent aux interpellations, voire aux supplications du Moronou. Et pourtant, il n’a point hésité à mettre 3 milliards FCfa dans la construction d’un pont métallique pour relier la petite localité de Gbéléban à …quoi ?! Odiennééé !?! Mais non ! Pour aller en Guinée-Conakry. Chercher quoi ?

  • gnamathehEspoir : la création du Cnp

Le Congrès national populaire (Cnp) existe et arrivera au pouvoir d’Etat :

5a) pour rétablir la primauté et le respect de l’Autochtone sur la terre de Côte d’Ivoire afin que notre société redevienne policée, l’urbanité ayant « foutu le camp » sous le règne de monsieur « un simple rattrapage ». 5b) pour instaurer une Assemblée nationale véritablement autochtoniste et souveraine, le contraire d’une Assemblée fantoche qui a donné à la Côte d’Ivoire un despote. La loi d’hier n’oblige aujourd’hui !

En conclusion

quand un pays est gouverné par un non-Autochtone, celui-ci ne sert que des brigues au peuple (le Pdci en paie les frais). Car si le pays venait à brûler, tel un oiseau le non-Autochtone irait se poser sur un autre arbre.

Vous nous aurez compris : en 2020, il faut remettre la Côte d’Ivoire à un Autochtone. Et il en existe : au Congrès national populaire (Cnp), au Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), au Front populaire ivoirien (Fpi), à l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci), etc. La réconciliation, l’harmonie sociale et la paix sont à ce prix !

Vive le Cnp !Vive la Côte d’Ivoire ! Notre Combat, l’Unité des Autochtones du Sud, de l’Est, du Centre, de l’Ouest et du Nord de la Côte d’Ivoire.

affaire ouattara contre la lettre du continent ledebativoirien.netFait à Morokro-village, le  lundi 19 mars 2018

Gnamantêh Nanankoua

Autochtone ivoirien, mieux, Ivoiritaire !

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