LE CRI PANAFRICAIN DEVIENT  UN PARTI POLITIQUE-ABEL NAKI : «OUATTARA A BAFFOUE LES RUDIMENTS DE LA DÉMOCRATIE EN COTE D’IVOIRE…»

Invité dimanche 3 février 2019 à l’assemblée générale de la jeunesse de son parti UJ-CRI au baron de Yopougon, le président du CRI-PANAFRICAIN a été sans détours. Il s’est penché sur  le poids de  la jeunesse capable de faire basculer la balance Politique à tout moment. Et condamne  les  propos du député Traoré Mariam contre un acteur  politique.

Selon Abel Naki : «Aucun combat n’est possible sans la jeunesse. La Population Ivoirienne, est composée à 70% des jeunes. Si on connait le poids de la jeunesse, on doit comprendre qu’elle peut tout changer. Le CRI-PANAFRICAIN est un mouvement de rue, nous sommes passés en mouvement politique », annonce le conférencier. Et d’expliquer: «Un enfant  nait il grandit et il devient responsable. LE CRI-panafricain est le cri d’espoir des AFRICAINS c’est le leitmotiv de notre parti. NOTRE parti à une idéologie socialiste, c’est pourquoi nous mettons l’accent sur le panafricanisme».

Le président du CRI-panafricain ajoute : «Nous devons lutter pour la souveraineté de notre pays. Il ne faut plus qu’un pays prenne un avion pour bombarder un palais AFRICAIN. Les Africains doivent se battre pour l’unité AFRICAINE. N’acceptons pas que notre monnaie soit fabriquée par un autre pays. La jeunesse ne doit plus être utilisée comme un bétail électoral. Chers amis jeunes nous devons nous lever et travailler  pour que les choses avancent».

ABEL NAKYABEL NAKI a également réagit au un poids deux mesures relativement à la peine de prison ferme contre le député Alain Lobognon, condamné  à un an de  prison  ferme avec  une amende de 300. 000FCFA pour, selon le procureur diffusion de fausses informations. Pendant qu’un autre député profanant des injures contre une actrice politique, reste sans  interpellation. «Quand on jette un élu du peuple en prison, cela veut dire que les lois sont foulés aux pieds. Quand une élue du peuple, qui porte une échappe du drapeau Injures des parlementaires ce n’est pas sérieux. Nous devons récupérer notre pays. Car Ouattara  et son  gouvernement ont bafoué les rudiments de la Démocratie. Ce pays nous appartient levons-nous !» a-t-il-conclut.

  TONY BLAIR

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