ABIDJAN-1 ERE EDITION DU SALON DU JOURNALISME ECRIVAIN INSTITUTIONNALISE

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C’est le premier du genre en Côte d’Ivoire. Mardi 12 février 2019, Zio Moussa, président de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped), a lancé la 1 ère édition du salon du journaliste écrivain, à la salle de conférence de l’Agence ivoirienne de presse, sise au Plateau. Il avait à ses côtés, Anges Félix N’Dakpri, commissaire général dudit salon. Qui se tiendra dans le mois de novembre prochain à Abidjan.Président Zio MOUSSA

Pour Anges Félix N’Dakpri qui présentait certains aspects techniques de ce salon, c’est une belle initiative qui vise à promouvoir l’écriture auprès des journalistes Cet administrateur général d’une société de communication qui est un des collaborateurs sûrs du président Zio Moussa, au plan stratégique, assurera le rôle d’assistant technique d’organisateur technique, acteur principal de mobilisation des maisons d’édition et partenaires.  Pour lui, tous les protocoles sont en cours de finalisation. L’événement vise les journalistes sous leur tutelle. Et pendant trois jours, il réunira tous les professionnels des médias et toutes les maisons d’édition. Il a pour thème cette année : « La liberté d’expression et la liberté d’édition ».

Plus de cinq pays prendront part à ce salon 2019. Il s’agit de Sénégal, du Benin, du Ghana, de l’Afrique du Sud, du Maroc et de la France. Selon Anges Félix N’Dakpri, il y aura un prix littéraire du nom de l’Olped et durant ces trois jours, il y aura également des ateliers de formation et de renforcement des capacités des journalistes. L’autre particularité, la création d’un marché de manuscrits déjà publiés ou instance.

Président Zio MOUSSAL’Olped a une large contribution dans la mobilisation des ressources et la recherche de l’argent auprès des partenaires et des mécènes. Selon le patron de l’Olped, beaucoup de salons existent dans le monde mais ils ne sont spécialisés. « Nous sommes des dépositaires et distributeurs de savoirs. Avant de prendre sa retraite du quotidien Frat Mat, le président Zio Moussa a pu identifier plus de 500 manuscrits appartenant aux journalistes ivoiriens qui s’adonnent de plus en plus à l’écriture. Serge Bilé, Frédéric Gramel, Agnès KraidyZio Moussa, himself avec plus de huit livres, Venance Konan.  Il est temps de célébrer ce métier d’écrivain.

« Pourquoi ne pas organiser un salon thématique qui n’existe pas ailleurs ?. Nous être les pionniers du salon de journalistes écrivains. Le contenu dudit salon, ce sont des conférences, des rencontres professionnels. Il faut aussi tenir compte des journalistes français comme Antoine Glazer qui sont déjà identifiés. Nous allons valoriser tout ce que les journalistes ivoiriens ont pu produire. Donc, il faut célébrer le monde des journalistes écrivains. Quel que soit le livre, il y aura sa place au salon », a déclaré le président Zio Moussa précurseur de cette première édition. Qui a indiqué qu’il y aura un jury international pour ces Prix qui seront collés aux célèbres écrivains ivoiriens comme Sery Bailly, ZadyZahourou, Diégou Bailly et Koné Dramane. Ce salon sera institutionnalisé et hématique.

A.T.T

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