Le village de Morokro dans la sous-préfecture du même nom est accablé et affligé en ces premiers mois de l’année 2019. Principalement l’une des trois grandes familles dirigeantes de la cité, la famille Angbononkadjo.
C’est une véritable cascade de morts. Après le doyen Andé Kouamé, dit Péchoux en janvier 2019, suivront Mme Libanais Ekanza Kouamé, Koua Assouman Henri, enterré le même jour, samedi 2 mars, et N’guessan Koua Adro qui est parti le lundi 4 mars 2019. Il n’y a plus de larmes pour pleurer les morts. Le chef du clan Angbononkadjo, bien que chrétien catholique pratiquant, envisage sérieusement de recourir aux rites ancestraux comme le Bossonisme pour conjurer le sort et stopper un tant soit peu cette cascade de morts.
N’gani à Morokro-village
Correspondance particulière
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