Abidjan-Crise à l’OJPCI :Léon Saki (DP) met de  l’ordre dans les esprits de Souleymann T. Senn et Yro Olivier

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OLIVIER YRO, CELUI QUI EST TROP PRESSÉ D’AVOIR UN ENFANT FINIT PAR ÉPOUSER UNE FEMME ENCEINTE

YRO OLIVIER ET SOULEYMAN T SENNIls sont subitement devenus amnésiques, ceux qui, aujourd’hui, rebutent et insultent le ministère d’avoir proposé une solution de sortie de crise à l’OJPCI. Je veux principalement parler de T Senn et Olivier.

En 2016, lorsqu’il y a eu crise entre Olivier Yro et le clan au pouvoir (Gooré Bi Hué), c’est le ministère qui est intervenu pour demander l’organisation d’un congrès extraordinaire de renouvellement des instances de l’OJPCI; lequel congrès a porté Olivier Yro à la tête de l’organisation.

Alors, pourquoi croient-ils à présent que le ministère n’est pas compétent pour agir. C’est ridicule ! Nous assistons malheureusement à une certaine méconnaissance de la loi fondamentale, une méconnaissance du rôle de l’Etat dans le fonctionnement des associations. Des gens estiment que l’Etat ne devrait pas s’immiscer dans les affaires intérieures des associations. Certes oui, parce que les associations ont des droits qui leurs confèrent des droits et libertés (voir constitution ivoirienne à son article 20 du chapitre premier des droits et des libertés).

LEON SAKIMais des associations ont également des devoirs parce qu’elles doivent contribuer à prolonger l’action de l’Etat, mener des activités favorisant l’intérêt général, contribuer à la décision démocratique et à la cohésion sociale. L’Etat à un droit de contrôle et de veille pour éviter de laisser prospérer des associations inhumaines, en contradiction avec le respect de la personne humaine, sa liberté et ses droits. Dans le cas de l’OJPCI, ce sont les animateurs même de l’association qui ont fait appel à l’Etat. L’Etat a écouté les différentes parties durant plusieurs semaines avant de rendre son verdict.

Olivier Yro et ses acolytes auraient dû ou avaient la liberté totale de récuser, dès le départ, la médiation de l’Etat

(Comité composé de quatre journalistes confirmés : Koné Ibrahim, Diomandé Métouba, Zio Moussa et Raphaël Lakpé (Président)), en s’appuyant sur le principe de non-ingérence qu’ils brandissent aujourd’hui. Mais puisqu’ils ont été déboutés tragiquement pour les nombreuses malversations et les innombrables détournements dont ils se sont rendus coupables, ils se répandent dans la presse et sur les réseaux sociaux pour vilipender d’honorables journalistes comme le président Raphael Lakpé, Diomandé Métouba etc.

OJPCI LEDEBATIVOIRIEN.NETJ’imagine, intuitivement, le grand sourire de Gooré Bi Hué victime d’Olivier Yro ; un Olivier Yro qui se retrouve aujourd’hui dans la même situation que lui, il y a 3 ans. Pour dire que les mêmes causes produisent toujours mêmes effets.
CELUI QUI EST TROP PRESSÉ D’AVOIR UN ENFANT FINIT PAR ÉPOUSER UNE FEMME ENCEINTE.

Par LEON SAKI-DP

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