Docteur Augustin Thiam, ministre gouverneur du district autonome de Yamoussoukro, continue de voler au secours des personnes vulnérables dans sa politique d’action sociale. Il a offert le jeudi 26 septembre 2024, des chèques d’une valeur de 21 millions de francs CFA à une vingtaine de personnes indigentes, à la Fondation Félix Houphouët-Boigny, l’événement a été doublé d’une cérémonie de remise d’attestations à 350 bénéficiaires du Sous-projet THIMO du PEJEDEC 3 à la Paierie du District.
Cette action de remise de chèques s’inscrit dans le cadre des actions sociales que mène le district autonome de Yamoussoukro auprès des populations les plus vulnérables, depuis 4 ans maintenant. La dite action qui se répète chaque année selon les sollicitations des populations nécessiteuses, a soulagé cette année, 22 personnes avec des chèques d’une valeur de 21 millions de francs CFA. Dr Augustin Thiam, ministre gouverneur du district autonome de Yamoussoukro a exprimé sa sensibilité et sa compassion, ainsi que son engagement pour la stabilité sociale des populations.
C’est pour lui, un acte humanitaire d’apporter son soutien matériel et financier chaque fois que le besoin se fait sentir. Il a ensuite signifié que ce n’est pas la quantité du montant qui compte mais ce geste qui sauve est à considérer. Car a-t-il, précisé, cela peut paraitre peu ou insuffisant, mais c’est le propre de toute action humaine. En outre, il indique que ces moyens financiers qu’il met au profit des nécessiteux émanent du budget alloué par le gouvernement pour le district.
C’est pourquoi, il souhaiterait remercier le conseil qui le soutient dans ses prises de décision d’aide sociale et le président Alassane Ouattara à travers ces actions humanitaires qu’il lui permet de faire. « Chaque année, nous sommes sollicités pour apporter notre aide aux malades les plus nécessiteux, qui n’ont pas les moyens de se faire opérer, nous accomplissons ces gestes fondamentaux, il nous font des demandes que nous étudions avec la directrice des ressources humaines des affaires sociales et nous apportons notre aide, pour leur permettre de se soigner et de se prendre en charge. On commence un peu et puis, en fonction de nos moyens on augmente » fait-il savoir.
Dans ces propos, le ministre gouverneur du district autonome de Yamoussoukro a livré partiellement son bilan d’actions sociales qu’il apporte au quotidien aux personnes vulnérables. « Ce que nous faisons aujourd’hui, vous nous avez vu poser cet acte auquel vous avez assisté, avant-hier nous étions en train de remettre des kits scolaires, dix, quinze jours avant, nous avons remis un millier de tables bancs.
Nous remettons aussi des prises en charge scolaires, tout à l’heure nous allons à une manifestation pour de travaux à haute intensité de mains d’œuvre, nous allons remettre à 350 bénéficiaires des attestations. Nous faisons des travaux d’investissement, chaque année nous publions un bilan et rien que par exemple pour des écoles, depuis 11 ans que je suis en place au district, nous avons construit ou améliorer 92 établissements scolaires, nous avons construit 3 ou 4 lycées », a-t-Il énuméré.
Soutenant qu’en sa qualité de gouverneur, rien n’a changé en sa personne, mais il va toujours aider les personnes nécessiteuses, car des souffrances viennent toujours à lui. Il s’est ainsi souvenu d’une jeune fille malade de la cataracte qui s’est approchée de lui sollicitant son aide, pour se faire opérer, et il n’a pas hésité de l’envoyer faire des analyses ophtalmologiques pour se faire opérer de sa cataracte. Par ailleurs, il a affirmé que, pour pouvoir toujours soutenir les populations, il doit rester Augustin Thiam comme il l’a toujours été.
« Je n’ai pas changé grande chose dans ma vie de tous les jours, je continue à aller au super marché, je continue de me promener dans la ville à pied, et je reste accessible aux sollicitations des gens. Des gens me parlent dans les rues, je reçois des courriers, j’interviens autant que je peux, je sais de rester Augustin Thiam parce que un jour gouverneur là, ça va finir mais il faut que je reste Augustin Thiam, pour pouvoir continuer à être accessible à tous, à être sensible à la souffrance des gens, à soulager les gens de leur souffrance, les aider à passer aux travers des épreuves difficiles », a-t-il rassuré.
Pour la prise en charge des diabétiques, en sa qualité de médecin, docteur Augustin Thiam a fait savoir que le diabète spécifiquement, est une maladie génétique héréditaire qui ne guérit pas. Pour sa prise en charge effective il a préconisé d’éduquer le malade surtout que c’est une affaire de discipline du malade lui-même, car le diabète se contrôle, on le régule, par une auto discipline du malade lui-même.
Par ailleurs, le gouverneur du district autonome de Yamoussoukro trouve une protection en la bénédiction des bénéficiaires qu’il remercie infiniment leur souhaitant que cet argent les aide à recouvrer la santé et la guérison totale. « Que Dieu accepte toutes ces bénédictions que vous avez faites à mon endroit, parce que vous voulez que mon pied reste droit, mais il y a d’autres qui voudraient que mon pied se casse. Donc grâce à votre prière mon pied reste droit, merci de continuer à prier pour moi et à prier pour la paix dans notre pays, pour que, ce que nous avons commencé là, nous puissions continuer », a-t-il martelé.
Les bénéficiaires qui étaient tous dans l’émotion ont fait pleurer toute l’assemblée avant de profiler richement des bénédictions à l’endroit du ministre gouverneur Dr Augustin Thiam à qui ils ont aussi souhaité longue vie. En outre, a-t-il déploré la médisance de certains médias qui mettent en cause leurs bonnes actions.
« Je peux comprendre que pour des raisons de propagande politique on puisse décrier que nous n’en faisons pas assez. Mais de là, à écrire que 14 ministres payés à ne rien faire, je trouve que c’est pousser le bouchon un peu loin » a-t-il regretté
L’événement s’est ensuite enchaîné, par une cérémonie de remise d’attestations à 350 bénéficiaires du Sous-projet THIMO du PEJEDEC 3, aussi présidé par le Ministre gouverneur Dr Augustin Thiam. Pour sa commission de la lutte contre le chômage et la pauvreté des jeunes, dès son accession à la tête du district autonome de Yamoussoukro, il a fait de l’emploi jeune et des femmes l’une des priorités pour assurer leur autonomie.
La dite cérémonie de remise d’attestations aux bénéficiaires du Sous-projet des Travaux à hautes intensités de mains d’œuvre THIMO du projet emploi jeune et développement de compétences PEJEDEC, matérialise ainsi son combat pour l’économie financière des jeunes et des femmes. Pour cela le district a signé une convention avec une micro finance mettant à profit 150 millions de francs CFA comme garantie, pour le financement des activités des 350 jeunes du district autonome de Yamoussoukro, et du département d’Attiégoukro. Ce projet est financé par la banque mondiale.
Jean Pierre kouakou assoumou directeur de l’agriculture et développement rural de Yamoussoukro, coordonnateur des projets du district, a indiqué que ce projet THIMO a plusieurs composantes et plusieurs sous-projets notamment le sous projet des activités génératrices de revenus, apprentissage en milieu rural.
« C’est à dire, qu’on met des jeunes à l’apprentissage à un secteur bien précis pour avoir un métier et après ils s’installent et également des associations villageoises d’épargne et de crédit, des groupes qu’on crée dans les villages qui déboursent sur les activités génératrices de revenus.
Ceux qui sont là aujourd’hui, c’est les bénéficiaires des travaux à haute intensité de mains d’œuvre, on les mets dans les situations de travail pour qu’ils aient quelque chose, pour pouvoir survivre, pendant leurs activités, ils reçoivent quelque chose du projet et à la fin de leurs activités, ils ont parlé du chiffre d’affaires, on leur donne déjà une prime pour que le plan d’affaires qu’ils ont élaboré durant le projet, ils puissent commencer quelque chose avec » a-t-il indiqué.
Ledebativoirien.net
Horty Ziga
Sauf autorisation de la rédaction ou partenariat pré-établi, la reprise des articles de www.ledebativoirien.net, même partielle, est strictement interdite. Tout contrevenant s’expose à des poursuites.
Partager :
En savoir plus sur LE DEBAT IVOIRIEN
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
