Pdci Rda-Chronique de Petrouce : ‘‘La marque Tidjane Thiam victime de  l’amateurisme politique et l’incompétence menés par Ezaley, Brédoumy, Gnamien Yao, Doho Simon et consorts »

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« Un gâchis colossal, une honte politique et juridique pour le PDCI-RDA » Petrouce Pierre Nicaise GNAGNE 

Pdci Rda-Chronique de Petrouce : ‘‘La marque Tidjane Thiam victime de  l’amateurisme politique et l’incompétence menés par Ezaley, Brédoumy, Gnamien Yao, Doho Simon et consorts », ledebativoirien.net

« Depuis 2020, je n’ai cessé d’alerter les cadres du PDCI-RDA. Je leur ai dit, sans détour : « Si nous ne faisons pas attention, en 2025, il ne nous restera que des larmes pour pleurer. » Car un groupuscule de cadres s’est acharné à évincer des hommes clés, pourtant loyaux, engagés, et anciens collaborateurs du président Henri Konan Bédié. Je les avais prévenus, avec gravité :

« Évitons de laisser notre maison familiale, le PDCI-RDA, s’embraser. Car une fois l’incendie déclenché, nul ne saura ni quand il va commencer, ni quand il prendra fin. »

Le mal du PDCI-RDA ne vient pas de l’extérieur. Il est né de l’intérieur.

pdci division  interne; ledebativoirien.net

Et aujourd’hui, cela fait cinq longues années que notre grande maison familiale brûle, dans une indifférence inquiétante avec des conséquences politiques majeures pour notre parti et pour le président Tidjane Thiam, successeur du président Bédié.

Prévenir valait mieux que ramasser les cendres. Le PDCI-RDA mérite mieux que l’autodestruction par les rivalités et les querelles internes. Depuis plusieurs mois, de nombreux militants me sollicitent en privé, m’interrogent, espèrent un mot, une réaction. Aujourd’hui, je prends la responsabilité de dire ma part de vérité. Car se taire, face à ce que traverse notre parti, ce serait renier mon attachement au PDCI-RDA. Ce serait aussi trahir la confiance de ceux qui croient encore à la parole libre et lucide au sein du parti.

Mon silence pourrait être interprété à tort comme une volonté de ménager certains intérêts politiques obscurs ou de protéger des ambitions lugubres. Or le PDCI-RDA est en quête de vérité, de cap, de courage.  Et ma vérité, même dérangeante, peut apporter un éclairage utile. Car l’un des plus grands rendez-vous politiques de notre époque a été manqué.

Tidjane Thiam par son nom, son parcours, sa stature représentait une chance historique pour notre parti de se réinventer, de se redresser, de retrouver son rang. Et pourtant, cette chance a été sabordée de l’intérieur. Quel immense dommage pour un produit et une marque comme  » Thiam », figure à la fois nationale et internationale, que l’on aurait pu  » vendre comme des petits pains » sur le marché politique.

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Et pourtant, l’histoire retiendra que le PDCI-RDA, parti bâtisseur, parti de référence et de prestige, a laissé passer une occasion historique d’entrer dans une nouvelle ère de leadership, sacrifiée sur l’autel de l’amateurisme politique, de l’incompétence, de l’impréparation, et d’une gestion politique imprévisible, menée par Ezaley, feu Ehouman Bernard, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simon et consorts.

Mais au lieu d’exploiter avec intelligence et vision l’opportunité unique qui se présentait, certaines figures de la nouvelle direction du PDCI-RDA ont préféré se livrer à des intrigues internes, à des luttes d’influence stériles et à des règlements de comptes personnels. Plutôt que de bâtir un véritable projet présidentiel autour d’un profil aussi crédible que celui de Tidjane Thiam, ces mêmes personnalités citées plus haut ont choisi de le sacrifier, de l’affaiblir, et même de l’empêcher de concourir.

 Le résultat ? Un échec politique cuisant, un revers juridique humiliant, et une page de l’histoire du PDCI-RDA que les militants liront avec amertume. Au sein même du PDCI-RDA, certains collaborateurs directs de Tidjane Thiam n’ont jamais su ou voulu le soutenir ni le valoriser à la mesure de ce qu’il incarne pour la Côte d’Ivoire à travers ce grand parti historique, le PDCI-RDA. Ce désengagement, teinté d’indifférence stratégique, a conduit à un gâchis politico-économique d’une ampleur considérable, que l’histoire du PDCI-RDA retiendra avec amertume.

Oui, un véritable gâchis !

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Et une faute historique incarnée par des visages bien connus. Ezaley, feu Ehouman Bernard, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simon (…) sont les artisans directs de l’effondrement politique de Tidjane Thiam et du PDCI-RDA. Ils en sont les bourreaux.

Messieurs Ezaley, feu Ehouman Bernard, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simonet consorts, je l’avoue : je ne sais pas comment vous êtes arrivés dans les rangs du PDCI-RDA.

Mais une chose est certaine : vous n’avez jamais aimé ni ce parti, ni son président historique, Henri Konan Bédié. Car si vous aviez véritablement aimé le PDCI-RDA, vous auriez su respecter les choix stratégiques et politiques du président Henri Konan Bédié, en particulier celui d’avoir placé sa confiance en un homme de loyauté et de combat : le ministre Maurice Kakou Guikahué, surnommé avec raison « le Capitaine Courage ».

C’est bien lui qui, entre la fin de 2016 et 2020, a tenu la barre du navire PDCI-RDA, alors que celui-ci tanguait sous les secousses des tempêtes politiques, des dissensions internes et des menaces existentielles. Sans lui, le parti aurait pu sombrer. Avec lui, il a tenu. Mais non. Au lieu d’adhérer à cette vision de continuité et de stratégie, vous vous êtes acharnés à vouloir renverser MKG, avec une obsession politique aveugle, sourde à l’intérêt supérieur du parti.  

Et dans cette quête politique désespérée, vous avez fini par précipiter la chute du président Tidjane Thiam, aussi bien sur le plan politique que juridique et électoral. Pourtant, vous aviez eu la possibilité, voire le devoir, d’accompagner ce candidat sérieux et crédible jusqu’au palais présidentiel, au soir du samedi 25 octobre. Mais au lieu de cela, vous avez choisi de l’exposer, de l’isoler, puis de le sacrifier, publiquement, brutalement, sur l’arène impitoyable de la scène politique ivoirienne.

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Et aujourd’hui, voilà que vous criez au loup, comme tout sorcier politique qui prétend n’avoir jamais ôté une âme politique, alors même que ce sont bien vous, les destructeurs silencieux du PDCI-RDA, les saboteurs du destin politique de Tidjane Thiam. Oui, ce sont bel et bien eux les véritables ennemis de Tidjane Thiam.

Ceux-là mêmes qui, aujourd’hui, osent s’indigner, lancer des « Ce n’est pas nous », faisant mine de découvrir un chaos dont ils sont pourtant les seuls véritables architectes politique, juridique et électoral. L’amnésie feinte ne suffira pas à effacer leur responsabilité. L’histoire, elle, a déjà gravé leurs noms. Et pourtant, l’échec du président Thiam prématurément disqualifié porte sans équivoque leur signature, gravée dans les pages sombres de l’histoire récente du PDCI-RDA.

Depuis 2020, Ezaley, feu Ehouman Bernard, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simon et consorts ont activement mis en place une stratégie de conflits internes, fondée sur l’amertume, l’exclusion, et sur l’absence totale de vision politique unifiée. Tout cela, pour une seule et unique obsession : affaiblir un homme, l’ex-Secrétaire Exécutif en Chef, Maurice Kakou Guikahué, alors Vice-président et numéro 2 du PDCI-RDA sous le président Bédié.

PDCI

Messieurs Ezaley, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simon et consorts, quoi que vous fassiez, vous ne pourrez jamais atteindre, ne serait-ce que les “orteils politiques” de MKG. Car le ministre Maurice Kakou Guikahué est, et restera, le seul véritable “animal politique” du PDCI-RDA, une boussole vivante du militantisme, un stratège qui n’a plus rien à prouver dans l’histoire du parti.  Si le PDCI-RDA a pu tenir debout face aux tempêtes, c’est parce qu’il y avait, en silence, mais avec fermeté, un “Capitaine Courage” veillant dans l’ombre de l’“Empereur” Henri Konan Bédié.

Mais lorsque ce fut votre tour d’agir, vous avez lamentablement échoué à assurer même les fondations les plus élémentaires autour du président Tidjane Thiam. Là où il fallait structurer, vous avez désorganisé. Là où il fallait protéger, vous avez exposé. Là où il fallait bâtir, vous avez détruit.

Messieurs Ezaley, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simon et consorts, votre surenchère de méchanceté politique, alimentée par une ignorance stratégique criante, vous a conduits à l’impardonnable : vous avez été incapables de fournir au président Tidjane Thiam un simple extrait de naissance, un certificat de nationalité, et encore moins de l’inscrire sur la liste électorale condition pourtant fondamentale pour se présenter à la présidentielle de 2025. Voilà le point de rupture, voilà la faute majeure, et voilà pourquoi le peuple militant du PDCI-RDA est en droit de vous juger avec fermeté et lucidité.

pdci

Mais au lieu d’assumer vos responsabilités, vous avez encerclé, noyauté et pris en otage le président Tidjane Thiam, le rendant symboliquement « apatride » en Côte d’Ivoire et au sein même de son propre parti, le privant des moyens de se battre, de porter l’espoir et d’écrire l’avenir.  Au lieu d’unir le parti autour d’une ambition claire, ils ont préféré détourner l’énergie militante vers une logique de règlement de comptes personnels, érodant ainsi les fondations mêmes du PDCI-RDA.  

L’absence du nom de Tidjane Thiam sur la liste électorale est un auto-goal politique pleinement assumé, une disqualification soigneusement orchestrée de l’intérieur, par ceux-là mêmes que l’on présente comme les piliers du système. Ces saboteurs du PDCI-RDA, ce sont bien Ezaley, feu Ehouman Bernard, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simon et consorts.

Oui, messieurs, prenez vos responsabilités. Assumez vos fautes politiques et juridiques, car c’est vous qui avez mal conseillé le président Tidjane Thiam. Au lieu de l’accompagner et de le défendre sur les plans administratif, légal et stratégique, vous l’avez isolé, exposé, affaibli. Votre gestion approximative, vos manœuvres tactiques douteuses et vos ambitions personnelles mal dissimulées ont métamorphosé une opportunité nationale en un véritable naufrage partisan. En vous acharnant sur un homme, vous n’avez pas seulement affaibli le PDCI-RDA politiquement, vous avez brisé l’élan d’une génération entière d’Ivoiriens qui voyaient en Tidjane Thiam un espoir, une alternative, une perspective.

Ce n’est pas une erreur. C’est une faute grave politique, historique et morale.

EZALEY PDCI

Non seulement ils ont affaibli Tidjane Thiam, mais ils ont aussi freiné l’élan du PDCI-RDA, désormais condamné à attendre encore cinq longues années dans l’opposition, portant ainsi à près de 25 ans le cumul de marginalisation politique d’un parti autrefois au centre du pouvoir.

Et les faits sont implacables, ils parlent d’eux-mêmes :

• La radiation de Tidjane Thiam de la liste électorale ? C’est bel et bien la faute de messieurs Ezaley, feu Ehouman Bernard, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simon et consorts. Résultat de votre incompétence politique flagrante, marquée par l’ignorance, l’inaptitude, l’incapacité, l’inexpérience politique, l’insuffisance et, disons-le franchement, une certaine nullité stratégique politique. • L’absence de certificat de nationalité pour Tidjane Thiam ? Toujours votre œuvre. Fruit d’une lecture juridique hasardeuse et d’une gestion administrative approximative. •

Les poursuites internes engagées contre Tidjane Thiam ? Encore, vous. Symbole d’une arrogance politique décomplexée qui a préféré l’humiliation à la médiation. • Sa destitution de la présidence du PDCI-RDA ? C’est votre décision, reflet de votre suffisance politique, plus préoccupée par l’égo que par le destin du parti. • La perte de leadership de Tidjane Thiam, délaissé au profit des anciens cadres traditionnels ? Encore votre fait. Motivé par une gourmandise dévorante de votre méchanceté politique froide et calculée.

BREDOUMI

Messieurs Ezaley, feu Ehouman Bernard, Brédoumy Kouassi Soumaïla, Gnamien Yao, Doho Zonseloué Simon et consorts, vous n’avez jamais combattu pour le PDCI-RDA. Non, au contraire. Vous avez toujours combattu contre le PDCI-RDA, en construisant et en instaurant une bataille interne destructrice, aux relents d’amertume et de règlement de comptes. Cette guerre que vous avez menée contre votre propre parti a fini par emporter politiquement, juridiquement et électoralement un homme : le président Tidjane Thiam.

Et pourtant, si cette mission avait été confiée au ministre Maurice Kakou Guikahué, vice-président et ancien Secrétaire Exécutif en Chef du PDCI-RDA, le destin politique du président Tidjane Thiam aurait été tout autre. Avec MKG, Tidjane Thiam serait devenu un président incontestable, un candidat naturel du PDCI-RDA à la présidentielle, et surtout un électeur reconnu, légitimé, respecté.

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Mais vous avez délibérément préféré le chaos à la cohésion, l’orgueil au sens du devoir. Aujourd’hui, le PDCI-RDA en paie le prix fort : un parti fragilisé, divisé, affaibli… par les caprices et l’aveuglement d’orgueilleux politiciens tapis en son sein, plus soucieux de leur ascension personnelle que du destin collectif.

Au lieu de tendre la main au rassemblement, vous avez érigé les murs de l’échec, réduisant à néant l’élan d’un renouveau politique incarné par un homme à la stature nationale et internationale en la personne de Tidjane Thiam. Ce que vous avez orchestré, c’est tout simplement le plus grand scandale politique que le PDCI-RDA ait connu sous votre gouvernance : une tragédie interne dont les retombées continueront d’ébranler le parti.

Mais que cela soit clair : le peuple militant PDCI-RDA observe, comprend et saura juger le moment venu.

À l’heure d’un bilan aussi scandaleux que douloureux politique, juridique et électoral il devient impératif de tourner la page avec courage. Le PDCI-RDA ne peut plus se permettre de s’enliser dans les querelles internes et les rancœurs destructrices. Il est temps d’aller résolument vers une unification fondée sur le pardon, la vérité, la paix et la responsabilité. L’heure n’est plus aux constats stériles. L’heure est à la reconstruction – lucide, méthodique, sans compromis – d’un parti qui fut jadis un modèle de stabilité et de vision.  Car l’histoire, elle, ne pardonne jamais deux fois les mêmes erreurs, surtout lorsqu’il s’agit d’erreurs politiques répétées.

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À bon entendeur…salut ! La suite de mon message sera adressée directement au président Tidjane Thiam, entre le mercredi 25 et le vendredi 27 juin.

Par Petrouce Pierre Nicaise GNAGNE ( • Membre du Bureau Politique • Ancien Délégué Départemental de Dabou • Ancien Membre des Réformes Structurelles du Personnel Politique du PDCI-RDA (2018) • Ancien Président de la JPDCI de Dabou • Ancien Président des Jeunes Cadres PDCI-RDA du Sud • Candidat Malheureux à la députation / Bannière PDCI-RDA (2011) • Ancien Secrétaire de Section Kpanda / Dabou • Ancien Président du Comité de Base Yopougon / Menuiserie • Membre du Bureau MEECI Collège / Treich-Laplène (Rue 22 barrée, Av. 13 et Grand Bloc LOKO – Marcory) .

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