Déclaration du Midvi relative aux crise politiques en Crise Ivoire
Enfin l’unanimité s’est faite autour de la nécessité d’un dialogue. Depuis le mois de juillet 2020, le Mouvement Ivoirien pour le Droit à la Vie (MIDVI) n’a eu cesse d’appeler à une franche discussion entre les parties Ivoiriens sans véritable réaction. Mais la tournure actuelle des évènements est venue comme un coup de tonnerre rappeler à tout ce qui est de l’ordre naturel des choses. S’il est clair qu’il faut un dialogue, pour le MIDVI, il ne doit pas s’agir de n’importe quel dialogue. Il faut un dialogue qui ramène la paix en côte d’ivoire ; il faut un dialogue vérité et réconciliation. Dans ces conditions le MIDVI appelle à un dialogue national, inclusif et impartial.
I/ Un dialogue national
Le dialogue qui sauvera la côte d’ivoire sera un dialogue ouvert à tous les fils, sensibilité et structures représentative d’une partie de la population. Il en découle qu’il ne s’agit pas d’un dialogue bilatéral entre partis politiques. C’est un dialogue multilatéral impliquant les ONG véritablement indépendant et impartiales. Dans ce sens le MIDVI est prête à prendre l’initiative du rassemblement de toutes les ONG de ce type.
II/ Un dialogue inclusif
Ce dialogue doit être ouvert à tous les fils et filles du pays capable d’influencer la paix. Pour ce faire le MIDVI propose que le Président Laurent Gbagbo rentre maintenant d’exil sans escorte internationale. Déjà en 1984, le Président François Mitterrand ayant trouvé un accord avec le Président Félix Houphouët Boigny, c’est le secrétaire générale de l’ONU, le Suédois U. TANT qui l’a accompagné sur recommandation du Président français. C’est donc une pratique existante déjà en Droit International et il ne devrait pas y avoir de réticence pour sa réédition. Le MIDVI insiste spécialement sur la participation effective du Président Laurent GBAGBO pour les raisons suivantes :
L’histoire récente de la Côte d’Ivoire nous a montré que tous les protagonistes de la crise en Côte d’Ivoire ont constamment admis que le Président Laurent GBAGBO doit faire partie intégrale du processus de réconciliation. Cette proposition a justifié le ballet diplomatique qu’il a eu d’abord à la Haye et puis Bruxelles. Il est la personne la mieux à même de booster le processus actuel. En effet, c’est lui qui appelle toujours à la discussion et qui n’est pas revanchard.
III/ Un dialogue impartial
Il est évident qu’un vrai dialogue ne peut avoir lieu sous l’arbitrage des partis politiques protagonistes qui seraient alors juge et partie. Le dialogue ne peut avoir lieu non plus avec les instruments administratifs, institutionnels existant en raison de leur manque d’indépendance et d’impartialité.Le MIDVI propose donc la mise en place d’un groupe d’interposition de la société civile chargée de l’organisation de ce dialogue. Il n’est jamais trop tard pour bien faire.
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