Une plainte devant le Pôle Pénal Économique et Financier d’Abidjan portant sur les 9 milliards 5 millions 419 mille 629 FCFA
Importante mise au point de M. Charles KOFFI, Président du Réseau National Pour La Défense des Droits des Victimes des Déchets Toxiques de Côte d’Ivoire dit RENADVIDET-CI, relativement aux déclarations de Gohourou Ziallo Claude François, président de la Coordination Nationale des Victimes des Déchets Toxiques de Côte d’Ivoire dite CNDVT-CI. Ses propos tenus à l’occasion de l’interview à lui accordée par Actupeople le vendredi 26/09/2025 sont rejetés par RENADVIDET-CI.
Les précisions de Charles Koffi. « Avant d’arriver à cette mise au point, il m’apparaît inconcevable, de laisser Prospérer les contre-vérités déblatérés par Gohourou Claude, à l’occasion de ses différentes prises de paroles, relatives au combat pour l’indemnisation des victimes des déchets toxiques.
En effet, dans celles-ci, intervenant souventes fois à l’occasion de ses directs sur les réseaux sociaux, il tend, à s’arroger la paternité du processus d’indemnisation et, en conséquence, se dédouaner, quant aux détournements massifs intervenus sur les fonds y relatifs.
D’abord, il est important de préciser, que Gohourou Claude n’a mené aucun combat en vue de l’indemnisation des victimes des déchets toxiques. Celui, qui est à l’origine de la procédure d’indemnisation pilotée devant les juridictions Britanniques, par le cabinet d’Avocats anglais basé à Londres et dénommé Leigh Day and Co, est Monsieur Motto Essaie, à l’époque des faits, chef de Djibi village. C’est pourquoi, cette action a été dénommée : ‘‘ MOTTO ESAIE and others’’ Information vérifiable.
Dans la nuit du 19 au 20 août 2006
Suite au déversement desdits déchets par la société Trafigura, dans le district d’Abidjan et ses banlieues, dans la nuit du 19 au 20 août 2006, des attaches avaient été prises par lui, à travers Greenpeace, à l’effet de l’aider à réparer le préjudice que son village et sa population ont subi, du fait de ce drame environnemental et humanitaire sans précédent dans l’histoire de notre jeune nation.
C’est cette structure internationale à vocation environnementale qui avait mis ledit cabinet d’Avocats anglais en contact avec Monsieur MOTTO Esaie.
C’est lors du recensement des victimes de ce village par ledit cabinet, courant novembre 2006 aux fins d’initier devant les Tribunaux de Londres, une action en réparation contre la société TRAFIGURA, que ce même cabinet était rentré en contact avec les autres représentants de victimes des déchets toxiques du district d’Abidjan et ses banlieues où ces déchets avaient été déversés par cette société.
C’est dans ce cadre, que LEIGH DAY AND CO était rentré en contact avec le Collectif des Victimes des Déchets Toxiques d’Abidjan-Sud 3 dont je suis le fondateur et dans lequel, Gohourou Claude était membre et non, nulle part ailleurs. C’est au nom de ce Collectif, qu’il avait fait partie des représentants de victimes qui avaient pris, en mon absence, la parole devant l’ex Président de la République, Monsieur Laurent Gbagbo.
Ce Collectif né officiellement le 10 octobre 2006, était l’une des premières associations de victimes des déchets toxiques légalement constituée et peut-être même la première. Ce Collectif regroupait les victimes des déchets toxiques de Port-Bouet, Vridi Cité et quelques victimes de Koumassi et Treichville.
Pourquoi, quelques victimes de Koumassi et de Treichville. Eh bien, la réponse est toute simple. En cette période, il n’existait aucune association de ce type dans ces quartiers; si bien que celles, desdits lieux accouraient vers cette association dont je suis le fondateur pour se faire enrôler.
Cette procédure de recensement de ces victimes, en vue de cette association judiciaire a débuté en novembre 2006 et s’est soldée par un règlement amiable devant la justice anglaise en août 2009. Contrairement aux élucubrations de Gohourou Claude selon lesquelles, il se serait opposé à l’offre transactionnelle portant sur la somme de 750 mille F CFA proposée par la société aux victimes par le biais de Leigh Day and Co est un pur mensonge.
Bien au contraire, il avait sensibilisé les victimes de notre association et des autres, à accepter ce montant, en me combattant pour mon opposition à celui-ci et pour cause : il avait reçu à cette fin, du cabinet LEIGH DAY AND CO, les sommes de 24 millions 883 mille 431 F CFA et 143 millions 277 mille 600 F CFA. (Information documentée). En réalité, j’étais la seule victime, au nombre des 29.624, qui s’était vigoureusement opposée à cette offre transactionnelle lors d’une réunion organisée par le cabinet LEIGH DAY AND CO à l’hôtel Pullman.
Après ma prise de parole pour m’opposer à celle-ci qui, à l’origine, était au moins de 9 millions de F CFA par victime, j’ai été combattu par MOTTO Esaie, GOHOUROU Claude et la cinquantaine de représentants de victimes des déchets toxiques.
Le premier cité avait fait valoir, en s’adressant à moi, en ces termes:
« Les blancs sont venus nous aider et toi, tu veux leur mettre les bâtons dans les roues. L’état de Côte d’Ivoire qui devait nous défendre, nous a donné 200 mille F CFA. Dans cette procédure, on n’a pas dépensé 5 F; toutes les dépenses ont été effectuées par LEIGH DAY. Ils veulent donner à chacun de nous, 750 mille F CFA et toi, tu dis que c’est trop petit »
C’est comme cela, que j’ai été mis en minorité. Cette information est vérifiable auprès dudit chef et aussi de Yao Pipira Denis, l’un des Présidents de Victimes des déchets qui était à cette réunion, es-qualité d’assistant. Il y avait une cinquantaine d’associations de victimes des déchets toxiques.
Le Collectif auquel appartenait GOHOUROU Claude et moi, comportait 1500 victimes des déchets toxiques parmi les 29.624 concernées par cette procédure.
Les mandats donnés par chacune des victimes audit cabinet était individuel; de sorte qu’aucun représentant de victimes, ne pouvait exciper de la qualité de représenter ses propres victimes dans cette action, à fortiori toutes les 29.624 victimes précitées.
Seul, le cabinet Leigh Day and Co était mandataire de celles-ci.
Suite à l’acceptation unanime des 22 milliards 500 millions de F CFA par ces victimes, la société TRAFIGURA avait fait transférer le 24 septembre 2009, cette somme dans un compte ouvert au nom du cabinet Leigh Day and Co dans les livres de la SGCI. Compte dénommé indemnisation des particuliers.
Gohourou Claude voyant les choses venir avait, sous l’inspiration de M. Koné Cheick Oumar, mis sur pied, trois jours avant le transfert des 22 milliards 500 millions de F CFA, soit le 21 septembre 2009, la Coordination Nationale des Victimes des Déchets Toxiques de Côte d’Ivoire dite CNDVT-CI.
Cette association a été créée sur la base du faux par lui.
En effet, à la suite du Procès-Verbal dont s’était prévalu GOHOUROU Claude, comme étant l’acte fondateur de sa Coordination, celui-ci avait produit des documents prétendument légalisés à la mairie de Cocody le 11 août 2009, sous la référence 83. 410, pour justifier la conformité de son association aux lois nationales.
Or, il est ressorti des constations faites à la mairie de Cocody, à la demande de certains représentants de victimes dont AGNIN ADJE Jean-Claude et AGNIN Kadio Mathurin, agissant en vertu d’une ordonnance du Tribunal d’Abidjan, que l’attestation sur l’honneur N° 83. 410, relative à la création de cette association n’existe pas dans les registres des actes de l’état civil de cette mairie à la date du 11 août 2009 et à aucune autre date d’ailleurs.
Qu’au surplus, ces documents font mention des personnes précitées, qui auraient été présentes à la prétendue assemblée générale et ayant signé la liste de présence.
Que cependant, ces personnes avaient contesté avoir participé à cette assemblée générale encore moins apposé leur signature sur les documents en cause, comme l’atteste le Procès-verbal de compulsoire du Commissaire de Justice requis à cet effet, par celles-ci.
Ce qui confirme que les actes constitutifs de cette Coordination ont été constitués par GOHOUROU Claude en violation de la loi No 360-315 du 21 septembre 1960 relatives aux associations et des dispositions du Code Pénal.
C’est pour cette raison, qu’il avait été aidé devant les Tribunaux ivoiriens par Messieurs KONE Cheick Oumar, Adama BICTOGO et cela, sous l’autorité de feu Desiré TAGRO alors Ministre de l’intérieur; lequel avait donné l’agrément à cette association fictive et putative pour permettre à son prétendu Président de s’en prévaloir devant la Cour d’Appel du Plateau.
Toute chose qui lui avait permis de se voir attribuer le 22 janvier 2010, la distribution des 22 milliards 500 millions de F CFA. Cet arrêt de la Cour d’Appel avait aussi ordonné à l’ex SGBCI, l’actuelle SGCI de lui remettre la liste des 29.624 victimes éligibles à ces fonds.
Alors qu’en sa prétendue qualité de mandataire de celles-ci, il devait être en possession de celle-là. Ensuite, contrairement à ses allégations tendant à se dédouaner face à ces détournements massifs de nos fonds d’indemnisation, à se blanchir quant au détournement des 4 milliards 658 millions de F CFA, il a été le planificateur et le principal auteur du détournement de ceux-ci.
C’est au moyen d’une Notification-Commandement, en date du 22 mars 2010, faite sur la base du faux par Maître SEKA Money Lucien, Commissaire de Justice qu’il avait, avec la complicité manifeste des dirigeants de la Société Générale Côte d’Ivoire dite SGCI, obtenu le transfert irrégulier des 4 milliards 658 millions de F CFA dans les 22 milliards 500 millions de F CFA dans un compte, qu’il avait aussi ouvert frauduleusement au nom de sa Coordination fictive à ACCESS BANK CI devenue AFRILAND FIRST BANK CI.
Cela, dans le but de récompenser avec une partie de cet argent, ses soutiens politiques, judiciaires et autres, qui l’avaient aidé, non seulement à avoir la co-gestion des 22 milliards 500 millions de F CFA avec la SGCI mais aussi et surtout, lui avait permis avec la complicité certaine de cette banque et dans celle-ci, de détourner 9 milliards 5 millions 419 mille 629 F CFA.
En ce qui concerne ma mise au point susdite
Gohourou Claude, lors de cette interview sus évoquée avec M. Guillaume VERGES, a allégué, que dans les 22 milliards 500 millions de F CFA, il en aurait eu à distribuer 18 milliards de F CFA. (Ce qui n’est pas du tout vrai).
Aussi, avait-il poursuivi pour soutenir, que les 4 milliards 658 millions de F CFA transférés irrégulièrement à sa demande, par la Société Générale Côte d’Ivoire dite SGCI, à ACCESS BANK CÔTE D’IVOIRE, le 24 mars 2010 dans un compte ouvert frauduleusement par lui, au nom de la Coordination des Victimes des déchets toxiques dont il est le Président, auraient été détournés par Messieurs Adama BICTOGO, KONE Cheick Oumar et autres.
Ce qui n’est pas aussi totalement vrai, car, c’est lui-même qui, en toute conscience, en toute connaissance de cause, leur avait remis leur part de récompense dans cette somme: officiellement 600 millions de F CFA à Monsieur Adama Bictogo à travers sa société dénommée MLBA Consulting et 2 milliards de F CFA à Monsieur KONE Cheick Oumar en vertu de la convention d’assistance juridique qui liait le cabinet juridique KONECO à cette Coordination.
Gohourou Claude a été l’auteur principal du détournement de ces fonds.
Le caractère irrégulier de ce transfert des fonds, par la SGCI à ACCESS BANK, outre le faux fait sur l’acte de Notification-Commandement susvisé, se justifie également, par le fait que d’abord, les 4 milliards 658 millions de F CFA ne devaient pas sortir de la SGCI, qui avait la charge, aux termes du protocole de règlement amiable et transactionnel, conclu le 11 février 2010 entre ledit cabinet d’Avocats anglais et cette Coordination fictive et putative, d’indemniser exclusivement les 29.624 victimes concernés par ces fonds.
Le rôle de cette Coordination ne devait consister qu’à remettre aux victimes bénéficiaires de ces fonds, leur chèque qui devait comporter 727 mille 500 F CFA au titre de leur indemnisation. A charge pour la SGCI, avant paiement de ceux-ci, de vérifier la régularité desdits chèques et de tous leurs documents d’indemnisation.
Mais aussi, ce transfert desdits fonds a été fait par la SGCI en violation de notre ordonnance de séquestre, obtenue le 19 mars 2010 sur 18 milliards 750 millions de F CFA dans les 22 milliards 500 millions de F CFA; laquelle avait été régulièrement signifiée par nous, à cette banque , le 23 mars 2010 à 11 H 40 MN.
Ces fonds ont été enfin, transférés par la SGCI à ACCESS BANK CI, pour éviter, suite à notre plainte relative au détournement de notre indemnisation déposée devant le Procureur de la République, aux officiers de la Police Judiciaire auxquels cette enquête a été déférée par ledit Procureur, de la mener à l’ex Société Générale de Banque en Côte d’Ivoire dite SGBCI, actuelle Société Générale Côte d’Ivoire dite SGCI.
Donc détournement prémédité par la SGCI et la Coordination des victimes présidée par le nommé GOHOUROU Claude.
A la vérité, GOHOUROU Claude et autres ont détourné au total, 13 milliards 663 millions 419 mille 629 F CFA dans le montant global précité, soit dans les 22 milliards 500 millions de F CFA. 4,658 milliards de F CFA à ACCESS BANK CI devenue AFRILAND FIRST BANK CI avec la collusion manifeste des dirigeants de cette banque qui avait, en cette période, des difficultés de trésorerie.
Et 9 milliards 5 millions 419 mille 629 F CFA à la Société Générale Côte d’Ivoire dite SGCI avec aussi, la complicité manifeste des dirigeants de cette banque.
Depuis 2009-2010, que nous avons porté notre plainte devant le Procureur de la République, sur nos 18 milliards 750 millions de F CFA contre la SGCI, GOHOUROU Claude et autres, après l’enquête préliminaire sur les 4.658 milliards de F CFA transférés à ACCESS BANK CI, enquête diligentée par la Direction de la Police Économique et Financière, c’est seulement le 15 juillet 2021, que nous avons pu obtenir de Monsieur CISSOKO Amouroulaye Ibrahim, au moment des faits, Président du Tribunal de Première Instance d’Abidjan-Plateau, un audit judiciaire à la SGCI sur notre compte ouvert par le cabinet d’Avocats anglais.
Les résultats finaux de cet audit judiciaire contradictoire à la SGCI, en date du 18 janvier 2022, effectué par un Expert-comptable agrée par l’État de Côte d’Ivoire, ont révélé l’existence sur notre compte, comme solde résiduelle à ce jour, la somme de 9 milliards 5 millions 419 mille 629 F CFA.
Somme dans laquelle, la SGCI avait indûment utilisé 5 milliards 391 millions 551 mille F CFA;
si bien qu’il doit y rester effectivement à ce jour, selon le rapport final de cette expertise judiciaire, la somme de 3 milliards 613 millions 868 mille 199 F CFA. Cela, exception faite des intérêts de droit générés par celle-ci, depuis le 24 septembre 2009, date de réception sur notre compte logé à la SGCI, des 22 milliards 500 millions de F CFA.
Il est impérieux de préciser et de faire observer que, c’est la SGCI qui a fourni audit Expert, tous les documents comptables relatifs aux paiements effectués par elle, et sur lesquels ont porté cet audit judiciaire sous son contrôle et ses confrontations des résultats en résultant.
L’ex Procureure du Pôle Pénal Économique et Financier d’Abidjan a été saisie de notre nouvelle plainte contre Gohourou Ziallo Claude François, le récent Directeur Général de la SGCI, M. Aymeric Villebrun, YACE Léonce Daniel Djecket alors Directeur des Affaires Générales et Juridiques de la SGBCI, actuel Directeur Général de N’SIA BANQUE, la Coordination des victimes et son Président et autres.
Messieurs Adama BICTOGO et KONE Cheick Oumar ne sont pas concernés par cette nouvelle plainte. Ils n’ont rien à y voir. Cette plainte comme je l’ai dit plus haut, porte sur les 9 milliards 5 millions 419 mille 629. Vu qu’un nouveau Procureur du Pôle Pénal Économique et Financier vient d’être nommé, nous allons, dans le mois d’octobre 2025, date du retour des Magistrats de leurs vacances, le relancer à cette fin.
Avant l’enquête préliminaire, relative à celle-ci, son instruction et une décision pénale définitive y relative, c’est à juste titre, que j’affirme que cette dernière somme a été détournée par les susnommés et autres et pour cause:
Suite au pourvoi en cassation, au civil, formé par la SGCI le 26 septembre 2023, contre l’arrêt de la Cour d’Appel du Plateau, confirmatif du jugement du Tribunal dudit siège dont nous avons été bénéficiaires dans cette affaire;
Pourvoi en cassation formé par la SGCI pour remettre en cause cet arrêt confirmant l’effectivité des 9 milliards 5 millions 419 mille 629 F CFA qui devaient rester à ce jour sur notre compte, la Cour de Cassation a rejeté ledit pourvoi en confirmant les résultats finaux de cette expertise judiciaire.
Il s’ évince de ce qui précède, qu’il reviendra au Juge Correctionnel du Pôle Pénal Économique et Financier d’Abidjan, de tirer toutes les conséquences de droit, de cet arrêt de rejet, rendu par la Cour de Cassation, relatif au pourvoi formé par la SGCI aussi bien concernant leur mise sous mandat de dépôt que leur condamnation solidaire au remboursement des 9 milliards 5 millions 419 mille 629 F CFA; et cela, sans préjudice des intérêts de droit générés par ces fonds depuis le 24 septembre 2009, date de leur transfert à la SGCI et des dommages et intérêts.
Pour terminer, il est faire observer, qu’en ce qui concerne les 4.658 milliards de F CFA, une décision correctionnelle définitive de l’Assemblée Plénière de la Cour de Cassation en date du 30 avril 2024 a confirmé le détournement de ces fonds par GOHOUROU Ziallo Claude François, KONE Cheick Oumar, DIGBEU Léocadie, Trésorière de la Coordination Présidée par GOHOUROU Claude, AWA Ndiaye épouse M’baye et ACCESS BANK CÔTE D’IVOIRE.
Toute chose qui oblige le Parquet Général près la Cour de Cassation et le Conseil d’Etat à décerner à leur encontre, des mandats d’arrêt. En conclusion, le seul vrai combat mené par le sieur GOHOUROU Claude dans cette affaire, est celui d’avoir détourné l’argent des victimes.
Pour avoir fait montre d’une imposture pour s’arroger ce processus d’indemnisation, il use de cette qualité pour rançonner aujourd’hui, des milliers de personnes, en leur faisant miroiter une nouvelle indemnisation à l’international.
Alors que le bon sens aurait permis aux personnes grugées de savoir que, pour avoir même pour l’instant, été définitivement condamné à 20 ans de prison ferme pour abus de confiance portant sur les 4 milliards 658 millions de F CFA de la société TRAFIGURA, destinés à l’indemnisation de 6.624 victimes, aucune justice sérieuse dans ce monde, ne donnera du crédit à son simulacre d’action judiciaire à l’international contre cette même société ». Soutient en répliqueCharles KOFFI, Président du Réseau National Pour La Défense des Droits des Victimes des Déchets Toxiques de Côte d’Ivoire dit RENADVIDET-CI.
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