Engagé dans les recherches à travers son laboratoire Nature Santé, actuellement confronté à un réel manque de moyens financiers, le Groupe Diamana vient de procéder au lancement d’un plan de recherches de soutiens basé sur de vastes projets. Une action pour relever le défi de l’auto financement de ses recherches scientifiques au service de la société.
Et qui, à bien des égards apportent, une contradiction franche aux thèses de certains laboratoires dans la recherche de solutions aux maladies dites incurables. Ce qui souvent est source de beaucoup de difficultés, dont le manque de financement de bailleurs internationaux pour ses recherches.
«Nous lançons un projet, sport et étude par l’ouverture d’un lycée à Attinguié en Côte d’Ivoire. C’est Eburnea Academie qui, avec un lycée-internat pour les jeunes désireux de devenir footballeurs professionnels se met à la disposition des familles. Nous avons noué de solides relations avec des clubs européens de football pour des détections chaque 3 mois et faire partir les plus excellents jeunes joueurs.
«Vous êtes sans ignorer que les occidentaux ont opté pour une guerre bactériologique et que, pour la protection de nos peuples, l’Afrique doit accorder du crédit aux recherches scientifiques. Et que le Groupe Diamana en trouvant la solution naturelle au coronavirus, depuis le 20 mars 2020 se positionne comme une structure qui peut compter pour l’Afrique, doit être en conséquence soutenu par la société. L’adhésion à nos projets nous rendra plus fort. Au Groupe Diamana, c’est travailler pour une Afrique digne qui aura son mot à dire. C’est permettre à la Côte d’Ivoire de faire face aux défis scientifiques actuels et à venir…», déclare le biomédecin ivoirien Jean Ives Diamana.
«Il n’existe pas de maladies incurables, car les remèdes pour guérir les pathogènes, telles que le diabète, l’insuffisance rénale, le cancer de la prostate, le VIH sida et le covid-19, existent. Guérir et non soigner tous ces pathogènes est possible, avec les produits de nos recherches qui apportent la santé et le bien-être aux populations. Mais surtout contribuent à l’épanouissement sanitaire de celles-ci».
Le biomédecin chercheur se veut plus précis : «Je suis celui qui a guéri l’artiste Zouglou, Goudé de Magic System de l’hypertension et de l’insuffisance rénale; celui qui a guéri en son temps, Kanga Rovia journaliste ivoirien précédemment vice-président de l’UNJCI, du diabète et l’avait sorti d’un coma diabétique 4,71 de glycémie; je suis celui qui a donné la joie de la maternité a Mme Kouassi avec 11 ans de mariage sans enfant et ce, après 14 opérations chirurgicales sans suite, aujourd’hui elle a 2 enfants.
Après la guérison de Goudé de Magic System de l’hypertension et de l’insuffisance rénale par le Groupe Diamana, j’ai cru en une réaction du pouvoir public, mais j’ai compris que pour les hommes exceptionnels, le soutien ne viendra que de l’Eternel. Voyez-vous mon regard, il est fixé sur Jésus Christ. Epuisé par les recherches mais pas découragé par le manque de soutien financier, je crois en un lendemain meilleur pour l’Afrique santé…», indique docteur Diamana, pour qui, les chercheurs qui cherchent, ‘‘on les trouve’’, mais les chercheurs qui trouve, ‘‘on les cherche’’.
«Je suis pourtant un chercheur qui trouve. Je suis sans moyens, ni soutien. Qu’est-ce qui motivent mes pas de danse chaque jour? La joie de savoir que je suis fils de Dieu, je ne regarde pas ce que je n’ai pas. Mais plutôt pour ce que je suis, mon identité. Y a-t-il vraiment une volonté de soutenir les initiatives privées dans cette nation?», interroge Jean Ives Diamana en soutenant qu’il est plus qu’utile de cultiver le patriotisme sanitaire.
«Travaillons maintenant à l’indépendance vraie de notre pays et de notre Afrique et ce, par une économie forte, basée sur des héros nationaux en refusant des perfusions perpétuelles des bailleurs de fonds internationaux, comme le FMI. Pour cela, il faut éviter la gabegie et le favoritisme. Il faut éviter le tribalisme, mais soutenir les initiatives privées en créant des lois pour favoriser le soutien des banques aux investisseurs nationaux, avec l’Etat pour gage.
Il faut travailler à une véritable solidarité africaine pour éviter des malentendus avec les pays frères, ce qui rendrait difficile la coopération sud-sud qui est un facteur indéniable à l’unité de notre continent, Afrique et à sa croissance. Il nous faut changer les modules de nos universités pour ne plus former des chômeurs, mais adapter la formation aux besoins du marché, donc revoir le système éducatif», soutient l’ambassadeur ATB.
Après les conférences, le Groupe Diamana annonce des consultations gratuites suivies de la vente des produits de la biomédecine rendus très accessibles pour l’occasion, avec ‘‘deux produits au prix, d’un’’. «Je suis un agent de développement pour la Côte d’Ivoire et de l’Afrique», affirme-le biomédecin chercheur, Jean Ives Diamana.
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Hervé Makré