Contribution
Annoncé pour mort par une opposition et de nuisibles cassandres hystériques qui ont biché comme des poux, à l’annonce de son évacuation sanitaire à l’hôpital de la pitié Salpêtrière, pour ce qui devrait un principe n’être qu’un simple contrôle de routine, que des bodets ont vite fait de transformer en un mélodrame, dégoulinant de cochonneries.
Il se susurrait même dans le tout Abidjan que le président Ouattara devrait même se rendre à Paris pour, disent ces bonimenteurs » le débrancher ». Fadaise à laquelle beaucoup d’ingénus ont cru. Encore deux jours à poireauter soit le 29 octobre pour le revoir en chair et en os, bien requinqué pour aborder le dernier virage qui conduira inéluctablement au sacre, à la victoire du RHDP dont le choix des responsables s’est de façon écrasante porté sur sa personne.
Ce retour mérite qu’on s’y attarde un tout petit peu
Ensuite parce que l’homme symbolise indiscutablement l’espoir de la continuité d’une politique qui produit ses effets et dont les résultats probants sont reconnus par toutes les compétences qui comptent dans ce monde. Il a blanchi sous le harnais d’un homme politique exceptionnel, un travailleur infatigable dont le moment est venu de savourer une retraite qui à n’en point douter ne sera pas de tout repos. Et la lourde charge de succéder à ce baobab politique pour achever la transformation structurelle de ce pays dans un état de putréfaction avancée, tant physiquement que moralement à l’époque où ce dernier accédait à la magistrature suprême.
Ils se complaisent dans un environnement propice aux informations les plus abjectes qu’ils suscitent d’ailleurs par le truchement de leurs officines toxiques et leurs drones qui se croyaient invisibles, poussant des jeunes irresponsables à des comportements ignobles et scandaleux, tandis que leurs progénitures vivent bien confinés dans un confort insolent et une totale sécurité. Livrant ainsi les enfants d’autrui à des actes répréhensibles, répugnants et inqualifiables, sinon comment comprendre l’exhumation du corps de DJ Arafat dont les donneurs d’ordres leur ont fait croire que les franc-maçons avaient confisqué le corps réel et qu’ils avaient substitué à celui-ci, un autre corps. Mais que celui-là était fait de caoutchouc et officiellement présenté à sa mère et au peuple ivoirien qui eux n’ont pas été suffisamment futés pour discerner ce bidonnage.
Voilà comment se comporte cette opposition nullissime qui aspire à reconquérir le pouvoir d’État, et qui avance masquée, la réconciliation aux lèvres et l’épée dans le dos.
Cet homme qui a blanchi sous le harnais du président Ouattara a de qui tenir, et est une autre chance pour ce pays encore convalescent du fait des vilenies d’anciens alliés devenus de vrais vampires politiques, qui souhaitent aujourd’hui le pire à ce pays. Ils avaient même mis tous leurs espoirs sur le COVID 19 pour les aider à accomplir leur dessein funeste mais rien n’y fit et le régime tient toujours bon et son candidat à l’élection présidentielle, candidat de la continuité, candidat d’encore plus de progrès, sur les fondations solides que lui lègue son mentor et devenu plus fort que jamais.
Qui avait misé un centime sur ce bosseur qui a le cœur à l’ouvrage et que personne n’a vu venir et ce candidat arrivé comme un chien dans un jeu de quilles a bouleversé tous les pronostics et toutes les certitudes pour s’imposer par son travail et sa loyauté. Amadou Gon a été choisi dans la transparence la plus totale par une majorité écrasante des responsables du parti, choix adoubé par le gardien du temple et derrière lequel les militants se sont inclinés, souhaitant le voir parachever l’œuvre de ce grand bâtisseur qu’est le président Ouattara et voir ce pays retrouver sa quiétude et son lustre d’avant les schismes de Daoukro et de Férié.
Une correspondance de H. O.