Un événement majeur de la vie de la prestigieuse école de formation, ‘‘Ivoire Couture Mixte’’ s’est tenu comme annoncé, dans la nuit du samedi 31 juillet 2021. Les étudiants en fin de formation et ceux des années intermadiaires de cette prestigieuse marque, ont célébré la 51è promotion »Femme dynamique », de l’existence d’IVOIRE COUTURE MIXTE. Défilé de présentation des création de mode et de coiffure des étudiants, dans la salle des fêtes du centre. Un monde fou est venu apprécier les créations des filles et fils (il y en 2) de la directrice Dame Zouhum Affoué Émilienne épouse SABANA, le fondateur de la prestigieuse école.
A l’occasion des festivités marquants la sortie des 50ème et 51ème promotions du centre ‘‘Ivoire Couture Mixte’’, les étudiantes ont tenu leur fête de fin d’année de formation, le 31 juillet 2021. L’élégance des filles et garçons a été au rendez-vous du jubilé d’OR du centre. Un haut centre de Formation professionnelle, situé à Abidjan,
Il avait trois grandes écoles de formation: à Marcory, Adjamé et Yopougon. La moyenne des étudiants était de 500 par école. IVOIRE COUTURE a été la fierté de la mode en Côte d’Ivoire. Ces grands défilés de modes étaient purs délices. Fondée en 1970, de cette Ecole sont sorties de grosses pointures de la mode africaine, des mannequins de renoms. Le tout, sous la direction d’un grand homme, un visionnaire, le défunt fondateur, le styliste Savana Soumahila.
Cependant, les conflits successifs en Côte d’Ivoire, avec la crise postélectorale de 2010-2011 ont entraîné une perturbation significative de l’activité économique du pays ayant entraîné la fermeture des centres de Marcory et Adjamé. Aujourd’hui, le Centre IVOIRE COUTURE MIXTE, avec la seule école de Yopougon, en initiant son jubilé d’OR, entend exprimer à la population qu’elle demeure la référence en matière de formation de futurs cadres et chefs d’entreprise, en matière de la mode en Côte d’Ivoire. Mais également attirer l’attention sur la nécessité de se faire former par des professionnels du secteur de la mode.
GRACE OZHYLLY