Kobou Bi Goré Sylvestre a définitivement quitté le forum des célibataires pour s’attacher à Djeli Ahouy Judith Annick. Désormais les deux amoureux s’engagent pour une nouvelle vie. Celle qui les unit à jamais. Ils se sont acceptés par le lien sacré du mariage pour entamer un nouveau départ comme une seule chaire en partageant ensemble le bonheur et la peine. C’était le samedi 29 août 2020 à la marie d’Agboville pour les civilités et à la grande salle de fête de l’hôtel maltus1 pour la cérémonie religieuse.
Peu à après ils sont devant l’autorité municipale, Iritié Bi Goré Serge, premier adjoint au maire d’Agboville. Enfin ils ont dit OUI devant une multitude de personnes enthousiasmées à l’idée de les voir célébrer leur mariage. La joie était beaucoup grande. Après leur avoir prodigué de sages conseils leur attribuant à chacun son rôle, pour harmoniser leur vie commune, l’autorité Iritié Serge a remis le livret de mariage au couple Goré.
Les civilités achevées vers 11 heures 30 minutes, la cérémonie religieuse devrait se tenir à la grande salle de l’hôtel maltus1. »Doux était doux, » bras sous bras, collés l’un contre l’autre comme attirés par un aimant Sylvestre et Annick devraient encore se tenir devant Dieu pour dire OUI. Ils doivent être consacrés devant toute la divinité Suprême et s’engager selon le sacrement spirituel du lien de mariage.
Annick a chanté pour Sylvestre pour lui témoigner son grand amour. »Quelle émotion » ! S’exclamait-on. En outre, le pasteur Liga Didier, leur indiquant le bon chemin, a choisi un passage de la Bible dans le livre de Mathieu se référant à l’avènement de la création d’Adam et Ève. Selon lui la création de la femme par un organe de l’homme est un but, un engagement et un objectif. »Sans la femme l’homme est incomplet, parce qu’en l’homme il y a le masculin et le féminin.La femme est alors une partie de l’homme, un semblable à l’homme, une compagne de l’homme de qui elle a été conçue…, » a-t-il enseigné.
Kobou Bi Goré Sylvestre est informaticien, écrivain, cinéastes scénariste et formateur de l’art oratoire, Djeli Ahouy Judith Annick est infirmière au CHR d’Agboville et chantre. Monsieur et madame Goré, désormais ne font qu’une seule chaire. La cérémonie s’est achevée vers 16 heures par un déjeuner gala.
HORTENSE LOUBIA