PDCI RDA-Anicet Douhohou sans détours: «Bédié  est  une chance…Guikahué, un grand animateur…nous sommes militaires, j’attends des  ordres»

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Il est cadre du  PDCI-RDA, secrétaire général de section, membre du Bureau politique, Anicet Douhohou   est  militant pur mais  pas  dur. Il est un militant qui a vécu et qui a compris qu’il faut œuvrer  pour  le bien-être de son parti et qu’il faut  mettre ses  intérêts  en dessous de ceux de  son  parti. Il parle.

Militantisme pur

«Nous avons commencé  par le MEECI-mouvement des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire,  auprès des ainés. L’honorable Kouassi Dongo qui est mon maitre qui m’a appris  la  duplicité de  la politique, cette science. En prenant en compte la fibre de  la solidarité, en considérant que  l’homme est au cœur de  la politique.  C’est l’homme  qui fait la politique  pour  l’homme. A partir de  là, nous avons  appris  beaucoup. J’ai fait nos  classes  à Bouaké et ici  à Abidjan quand je suis revenu des Nations unies, où j’étais le coordonateur régional de l’Unops, qui est le bureau d’appui des projets des nations  unies.

Avant de devenir  coordonnateur, on a fait des pas pour  nous  forger. Nous avons mêmes ramassé des chaises de nos ainés. Nous nous sommes  mis à la disposition des ainés  parce que c’était le seul  moyen pour  apprendre. Nous avons  eu la véritable  formation au Pdci. Aujourd’hui nous sommes  un responsable de section, secrétaire général de la base de la Rivierra 3. Nous essayons de former les jeunes  et préparer la relève pour qu’ils  puissent  aussi faire  leurs pas.

 

Le colloque des 75 ans et Pr Guikahué

«Les résolutions du colloque nous ont charmés.  Nous voudrions ici de vive  voix, féliciter  le Secrétaire Exécutif en Chef  le professeur  Maurice  Kakou  Guikahué  qui a fait preuve de qualité. Il a démontré une fois  encore,  qu’il est  un grand  animateur. Et que l’outil du PDCI lui sied,  de sorte qu’il puisse  valoriser cet outil avec enchantement parti. Je crois  que c’est l’une des qualités  qu’il  prône  toujours,  l’action. Nous  nous  inscrivons dans ce cadre là. Et  nous  pensons  que  pour  faire  vivre  un parti, il faut  pouvoir  l’animer, il faut  pouvoir en tout instant et en  toute circonstance profiter des situations pour  créer  la  mobilisation.

Et si en tant qu’un responsable  tu n’arrives  pas  à le faire, tu participes  à la  mort de ton  parti. Et  lui, ayant compris  cela, c’est est  un ainé, il est plongé dans  la  de formation du MEECI. Parce que  le  MEECI c’était t l’animation et aujourd’hui, il garde cette animation. C’est ce qui fait que  le  PDCI  se régénère. La jeunesse s’y identifie. Si  vous êtes  un parti que vous avez une base  forte de la jeunesse, vous êtes un parti encore vivant  et vous vivrez. Donc,   les résolutions  du colloque  vont  permettre au parti de quitter les terres arides pour se retrouver sur  des plaines ;  afin de créer l’osmose au sein des militants et de faire  véritablement  la promotion de ceux qui ont  des choses  à apporter au parti.

La mission

«Je suis un  militaire. Le  militant, c’est un  militaire.  Et le militaire au drapeau attend des  ordres des commandements. Entant que secrétaire de section,  nous voulons  passer maintenant  à la forme active des résolutions du colloque. Et si ce n’est  pas fait, cela va créer des  problèmes. On voudrait vor des changements  véritables. C’est pour cela que nous serons tous  au Bureau politique,  le 9 décembre 2021. Qui permettra  aux  militants de se retrouver et de se ragaillardir au sien leur parti qu’ils  ne veulent  pas perdre. Parce que  le PDCI  c’est  un esprit.

Bédié et le Pdci

«Je  le dis toujours, Bédié est  une chance. C’est  une chance de  l’avoir, lui qui emprunte les voies de son  prédécesseur Félix Houphouët-Boigny. Le PDCI  a une chance que cet homme soit là, et  à la manœuvre. Nous sommes  un  militaire  à la disposition de  notre  patron. S’il a besoin de  nous, nous ferons acte, et nous apporterions  ce que  nous savons faire et ce que nous avons  de plus intéressant  à proposer notre  parti. A parler à nos  jeunes, à nos femmes, à les mobiliser et faire en sorte qu’ils  participent de façon active à la vie de leur  parti, là où ils se trouvent, là où, ils  font preuve de véritable  militantisme…».

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H.MAKRE