Mieux prévenir que guérir ! dit l’adage. Voici plus d’un mois qu’aucun lampadaire ne s’allume dans tout le village de Morokro. Parties aux renseignements à la subdivision de Compagnie ivoirienne d’électricité (Cie) de Tiassalé, les populations ont été ahuries de s’entendre dire que les véhicules portant les charrues pour placer les ampoules n’existent pas dans le département de Tiassalé.
Aussi, leur a été sommé d’attendre dans le noir en attendant qu’un véhicule vienne de la commune d’Anyama pour un éventuel dépannage.
C’est dans cette atmosphère délétère rythmée par des morts en cascades (4 cadavres en une semaine) qu’est tombée une énième menace de Bitty Souho Georges qui, rappelons-le, était l’ancien chef vomi par les populations qui l’ont remplacé par Nanan Tanoh Kadjo : le 04 novembre 2017, ce sera la finale entre mes adversaires et moi ! Quand on sait que Bitty Souho Georges a la propension de convoquer les Morokrofouôh, surtout les jeunes, à la brigade de gendarmerie de Tiassalé, l’on se demandait ce qu’il voulait dire.
Quand on l’a aperçu à Abidjan. De sources sûres, il a rencontré des personnes peu recommandes aux fins de venir à Morokro-village créer des troubles au moment où les populations apprêtent à accueillir les dépouilles mortelles d’une sœur et d’un frère. On a appris aussi que ces lugubres individus se feront passer pour des militaires pour procéder à des arrestations.
Actuellement, on retient s
on souffle
Morokro-village est en alerte ! Quand on sait que le dimanche 09 avril 4 individus se faisant passer pour des agents de la Direction de la surveillance du territoire (Dst) ont failli tuer Gnamantêh dans son jardin n’eurent été la vigilance et la présence des jeunes du village.
Quand le serpent vous a mordu, à la vue du ver de terre, vous sursautez. La psychose est perceptible ! Alors, en pareilles circonstances de menaces, ne vaut-il pas mieux prévenir avant que le pire n’arrive ? Pour l’heure, les Morokrofouôh retiennent leur souffle et prennent le monde à témoin !
Correspondance particulière de Ngani
Morokro
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